Un ancien député s’est invité dans le débat que suscite depuis quelques jours le dossier relatif au transport de bagages de et vers l’Algérie. Il s’agit de Samir Chaàbna qui a tenu à mettre les choses au clair en expliquant sur sa page Facebook les nouvelles conditions que le voyageur doit respecter à ce sujet.
Le transport de bagages lors des traversées maritimes de et vers l’Algérie fait débats depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. Un débat qui a été suscité suite à la décision de la douane algérienne d’interdire les véhicules utilitaires au niveau des ports et la saisie des marchandises transportées sur leurs toits.
Ils sont en effet, nombreux les voyageurs qui se manifestent sur les réseaux sociaux pour demander conseils et des informations sur le sujet. Des explications ont été fournies par d’autres passagers qui s’accordent à dire que les véhicules utilitaires sont désormais interdits. Qu’en est-il du transport de bagages ? les avis différent sur cette question.
Devant cette polémique qui enfle, les autorités concernées n’ont pas jugé utile de réagir pour expliquer une fois pour toute, ce qui est réellement interdit et ce qui ne l’est pas. Pour tenter de mettre fin à cette mêlée qui s’inscrit dans la durée et surtout pour dissiper les craintes et les appréhensions des voyageurs, l’ancien député de l’émigration Samir Chaâabna a intervenu à travers une contribution sur sa page Facebook.
Ce qui est interdit au port
Cet ex-parlementaire a expliqué en effet aux passagers les nouvelles conditions qu’ils sont appelés à respecter pour éviter toute mauvaise surprise au port. Il ainsi indiqué dans sa publication, que « les véhicules surdimensionnés sont interdits ».
Il est également interdit, souligne t-il, d’enlever les sièges de la voiture. Il est de même pour le port de bagages sur le toit des voitures par des commerçants.
Les transporteurs spécialisés dans le transport de marchandises ne sont plus autorisés, a-t-il affirmé. L’ancien député fait savoir par ailleurs, qu’il est permis aux passagers de placer les bagages usagés sur le toit du véhicule, soulignant que tous ce qui est destiné à la vente est interdit.
