Voici les prix des voitures neuves après le retour de l'importation

Quels seront les prix des voitures neuves en Algérie après le retour de l'importation ? C'est la question qui taraude les esprits des Algériens depuis l'annonce de la reprise de l'activité. Il faudra peut-être attendre le lancement effectif de l'opération pour se fixer, mais des concessionnaires se prononcent déjà sur le sujet.

Une chose est d'ores et déjà certaine : les couts des voitures connaitront une baisse sensible dès l'entrée en vigueur de cette disposition, indique-t-on. Une entrée en vigueur attendue en fait pour le début de l'année prochaine. Actuellement, le ministère de l'Industrie est en train d'accueillir les dossiers de demandes d'agrément lesquels seront attribués prochainement.

S'exprimant au sujet des prix de ces voitures qui seront importées, le président de l’Organisation algérienne de protection et d’orientation du consommateur et son environnement (APOCE), Mustapha Zebdi, a affirmé que les tarifs de certains véhicules ne devront pas dépasser les 140 millions de centimes. Il s'agit, selon lui, des petites cylindrées.

Des concessionnaires questionnés par le journal arabophone El Khabar ont également soutenu que les prix des voitures importées seront à la portée du commun des Algériens. Ils prévoient une baisse à hauteur de 30 %.

Des voitures à la portée des Algériens

Ainsi, une voiture de marque Polo sera de 299.9 millions de centimes. Une Golf 7  sera proposée à 324.9 millions de centimes. Il s'agit là des prix approximatifs annoncé par quelques concessionnaires au même journal. Une Hyundai Accent I20 sera affichée à 209 millions. Une Toyota Yaris devrait être évaluée 293 millions, affirme-t-on à la même source.

Notons pour rappel que parallèlement au lancement de l'importation des véhicules neufs par les concessionnaires, les particuliers pourront également importer des voitures d'occasion de moins de 3 ans d'âge dès l'année prochaine.

Certains constructeurs automobiles étrangers entameront également la production de leurs marques respectives. C'est dire en somme que les Algériens n'auront que l'embarras du choix pour acquérir un véhicule de leurs choix et selon leurs moyens financiers.

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