École internationale algérienne en France : "harcèlement et dénigrement"

Des enseignants de l'École internationale algérienne de Paris font face depuis quelques jours à un harcèlement d'un de leurs collègues. Les victimes ont dû saisir l'ambassadeur de l'Algérie en France l'invitant à intervenir pour mettre fin à leur calvaire. 

L'Ecole internationale algérienne de Paris est un établissement qui dispense un enseignement similaire à celui des écoles publiques en Algérie. L'établissement a été ouvert en octobre 2001. En 2005, il a été baptisé au nom du penseur algérien Malek Benabi.

Cette école a depuis sa mise en service constitué une belle aubaine pour les enfants des ressortissants algériens qui veulent suivre un enseignement " algérien" en France. Des dizaines voire des centaines d'élèves sont inscrit chaque année dans cet établissement.

Un établissement qui travaille depuis dans une sérénité exemplaire et qui ne cesse d'ailleurs de réaliser des résultats probants.

Voilà que cette fois, cette école fait parler d'elle à cause d'un problème suscité par un enseignant qui était arrivé d'Alger, il y a quelques années. On ne sait quelle mouche l'a piqué, ce dernier s'est adonné au harcèlement de ses collègues femmes exerçant dans le même établissement. Pour ce faire, il n'a pas trouver mieux que de mener une campagne de dénigrement envers elles.

L'ambassadeur de l'Algérie à Paris saisi

Selon le quotidien Liberté qui a fait écho de cette information dans son édition de dimanche 27 mars 2022, cet individu donne des fausses informations sur ces femmes dont certaines d'entre elles sont grand-mères, à un youtubeur résidant à Londres qui n'hésite pas à en parler sur le net.

Le même journal citant des sources "internes à l’établissement", ces femmes qui se sentent harcelées quotidiennement, ont saisit l'ambassadeur de l'Algérie à Paris l'invitant à intervenir afin de mettre un terme à ces agissements qui portent atteinte à leur réputation et à leur honneur. Il est clair que " ces victimes" espèrent certainement une intervention rapide du responsable algérien.

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