Libération de Numidia Lezoul : la chambre d’accusation a tranché

La chambre d’accusation de la cour d’Alger a rejeté la demande de libération provisoire de Numidia lezoul, Rifka et des autres accusés dans l’affaire « Future Gate ». Cela vient confirmer la décision prononcée par le juge d’instruction près le tribunal de Dar El Beïda. C’est ce que rapporte le site Algérie 360, dans son édition de vendredi 22 avril.

Numidia Lezoul reste donc, en prison. La chambre d’accusation de la cour d’Alger a refusé une demande de remise en liberté provisoire des accusés. Au total, onze personnes dont quatre influenceurs algériens, sont impliquées dans cette affaire qui n’a pas livré tous ses secrets.

Au total, au moins, 11 personnes ont été placées en détention provisoire dans le cadre de l'affaire "Future Gate". Trois mis en cause ont été mis sous contrôle judiciaire.

Les premières décisions de cette affaire d’escroquerie au visa d’étude sont tombées. Lundi dernier, le juge d’instruction du tribunal de Dar El Beida à Alger, a décidé de saisir les biens d’une ancienne députée qui se trouve être la mère du principal accusé.

L’enquête se poursuit

L’enquête se poursuit en fait toujours dans ce dossier dont le domaine de compétence a été étendu en Europe. Le doyen des juges d’instruction près le tribunal de Dar El Beida poursuit l’audition des déclarations des prévenus dans le dossier. Le principal accusé, Oussama. Z, propriétaire de la société fictive « Future Gate », a été entendu sur le sujet pour la deuxième fois.

Une autre personne est citée dans cette affaire. Il s’agit de la mère du principal accusé qui n’est autre que de l’ancienne députée Souad Lamara. Celle-ci s’est vue saisir tous ses biens sur décision du juge d’instruction  qui l’accuse d’avoir aider et soutenu son fils dans l’affaire d’escroquerie présumée.

L’agence Future Gate avait grassement payé des influenceurs algériens, à l’image de Rifka, Stanley et Numidia Lazoul afin d’attirer des jeunes étudiants dans le piège. L’agence fictive exige des sommes d’argent colossales aux étudiants pour avoir des visas d’études en Ukraine et dans d’autres pays, comme la Russie et la Turquie.

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