Voici le nombre des Algériens emprisonnés en France

Le nombreux de ressortissants algériens se trouvant dans les différentes prisons en France est loin d'être insignifiant. C'est ce qui ressort en effet des chiffres établis par le ministère de la justice relayés cette semaine par la presse française. Le même bilan fait état qu'un quart des prisonniers qui croupissent dans les centres de détentions français sont des étrangers.

Ils sont bien nombreux les Algériens qui sont établis en France. Le flux migratoire algérien vers ce pays ne date pas d'aujourd'hui. Il prend ses racines de la période d'avant la proclamation de l'indépendance de l'Algérie en 1962. Cela dit force est de constater que cette exode a prit de l'ampleur à tel point que la communauté algérienne est devenue l'une des plus importante qui se réside en France.

Les Algériens et les franco- algériens se peuvent donc que se signaler un peu partout dans l'Hexagone où ils occupent en effet des postes d'emploi dans les différents usines, dans les administrations et dans les établissements scolaires. On les trouve aussi dans les hôpitaux en tant médecins et infirmiers entre autres secteurs encore tel que le sport où ils font le bonheur de plusieurs clubs de football notamment.

Plus d'un quart des détenus en France sont des étrangers

En outre, ils sont également bien nombreux à se trouver dans les prisons françaises à l'instar de beaucoup d'autres ressortissants étrangers. Selon le bilan du ministère de la Justice repris par certains organes de presse cette semaine, ils sont en effet 3974 prisonniers algériens qui croupissent dans les différents centres de détention en France pour de différents délits.

Ils n'étaient pourtant que 2750 en 2021. C'est dire que leur nombre a considérablement augmenté en une année. Par ailleurs, et selon le même bilan, les prisons françaises comptent en leur sein pas moins de 18068 prisonniers étrangers sur les 72020 détenus. Parmi les prisonniers étrangers, on dénombre 2093 marocains et 1254 ressortissants tunisiens, relève t-on du bilan du ministère de la Justice français.

Retour en haut