Voyages par bateau : la durée d'attente au port d'Alger réduite

Bonne nouvelle pour les ressortissants algériens et plus précisément ceux qui préfèrent faire leurs voyages à travers des traversées maritimes. Les durée d'attente au niveau du port d'Alger vient d'être réduite, a annoncé le député de l'émigration Abdelouhab Yagoubi, mardi 19 avril sur sa page Facebook.

Les passagers algériens empruntant les navire de la compagnie maritime algérienne, Algérie Ferries ou ceux des autres entreprises desservant l'Algérie souffrait le martyre au niveau des ports à cause de l'attente qui peut durer des heures.

Cela a été le cas depuis la reprise des traversées maritimes de et vers l'Algérie intervenue le mois d'octobre dernier. D'ailleurs plusieurs ressortissants ont opté pour des voyages par avion à cause justement de cette attente.

La durée de l'attente au port réduite

A cela il faut également ajouter les différents désagréments causés par la mauvaise organisation au niveau des navires. Une situation qui a été d'ailleurs, à maintes fois décriée par les voyageurs eux mêmes. Mais aussi par les députés de l'émigration.

L'un de ces derniers a annoncé mardi 19 avril, une nouvelle qui ne pourra que réjouir les amateurs des voyages par bateaux parmi les algériens établis à l'étranger. Il s'agit du très en vue parlementaire Abdelouahab Yagoubi qui a révélé sur sa page Facebook que la durée de l'attente au niveau du port d'Alger a été revue à la baisse par le gouvernement algérien.

"Notre objectif reste non-atteint"

"Après notre interpellation de Monsieur le Premier ministre concernant les longues heures d'attente de notre communauté dans nos ports, que ce soit à l’arrivée ou au départ, nous sommes heureux d’apprendre qu’au port d'Alger, les délais des différents contrôles sont passés de 12 heures à 5 heures", a écrit le député dans son post.
Yagoubi affirme cependant qu'une attente de 5 heure reste considérable. "C’est bien mais
notre objectif reste non-atteint :3 heures maximum pour que le dernier passager puisse quitter le port ou embarquer!", réclame en effet le parlementaire.

 

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